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Sugar rush in my world

20 octobre 2008

Save my life.

All_that_noise__by_mumbojumbo89On dirait que je suis enfin seul.

Çà n'me suis plus.

On dirait que j'ai réussi.
Je suis encore tellement faible, mais je me sent tellement forte.



 

Tout n'est pas gagné, mais le plus important est fait.

J'aimerais pouvoir l'effacer de mon passer. Faire comme si ça ne m'avait jamais hanter.
Mais je ne vois pas ça comme une casserole, plutôt comme une étape de franchi.

Maintenant j'ai envie d'être une de ces personnes, qui n'ont pas cette case noir dans leur tête, celle qui les ramènes sur terre, et qui les font pleurer.

Le temps fera ses preuves.

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20 septembre 2008

Je suis au bout du monde.

Je voudrais juste être une petite souris pour pouvoir me glisser dans un trou, me cacher pour que personne ne me trouve. Être délaissé.

Je suis enfermé dans cette putain de cage dorée, dans ce putain de cœur. Je voudrais tellement m'en séparer de celui la d'ailleurs. T'façon c'est toujours le même refrain, on aime plus encore plus, comme on a jamais aimé, et puis on pleure plus, encore plus, comme on a jamais pleuré. J'aimerais effacer se sentiment qui m'bouffe la vie et l'esprit. J'aimerais être plus forte que je le suis, j'aimerais que mes sentiments ne soient pas le moteur de mes actes. Je voudrais le détester... Est-ce que c'est ce qui est en train de se passer ? Mais je l'aime tellement.

J'aimerais tellement arrêter d'y penser.

Je me hais, je hais tout. Je veux mourir de faim, mourir de solitude.

                                                   

Right_or_Wrong__by_tinylady

15 juin 2008

Petite pensée d'un soir.

1548321058"Il y a un mois et demie, plus ou moins, une de mes amies les plus précieuses à tenté de ce suicider, ouai je vous laisse imaginer combien j'ai regretté de ne pas avoir était là, combien je m'en veux. Je pourrais vous dire que j'ai rien vu venir, mais au contraire, je lui ai parlé, l'ai conseillé, l'ai "aidé" à dénouer un peu toute cette grande zone de flou qui lui prenait toute ça bonne humeur pour la rendre malheureuse et totalement faible, mais tout ça n'a pas suffi. On peut dire que j'ai été pas très compétente autant en matière d'amie qu'en matière de psychologue. Même si parfois je pense que l'amie vaut plus que la/le psychologue. Ce que je rêverais d'être si j'étais psychologue ça serait d'être aussi l'amie de tout le monde, qu'ils se confient tous à moi comme si j'étais une de leurs plus grande amie, tout en conservant se côté neutre et "sans conséquence" que vont chercher tout les gens en allant voir une psychologue. Bref, je reviens à l'histoire de mon amie; le voyant couler devant mes yeux je n'ai rien fait, ou rien su faire. Je pense que tout ceux qui cherché un minimum à voir on vu de toute façon. Mais je crois personne n'a trouvé ça alarmant. Il a fallu qu'elle creuse encore après avoir touché le fond, pour qu'enfin elle soit prise en main. Elle n'est pas la seule dans cette situation, il y en a trop qu'il faudrait aider, mais rien ne se passe, jusqu'au jours ou ces gens tente le pire (dans le pire des cas), ou réussissent à s'en sortir seul après de longs mois dans le noir (dans le meilleur des cas), bref dans tous les cas, ça sera jamais sans cicatrices."


Je voudrais pouvoir porter le poids du monde sur mes épaules.

11 juin 2008

Acro.

1688801032Ça commence par un dégout immense de toi même, plus tu te vois plus tu te trouves laide, grosse, et indésirable SURTOUT. Tu ne vois plus que les défauts, parfois même tu en crées dans ton imagination alors qu'ils n'existent pas. Et puis tu es malheureuse. Ta vie est pourrie. Tu n'as plus faim de joie, de bonheur, de nourriture. Tu est seul, personne ne te connais vraiment, même ceux avec qui tu traîne depuis des années. Tu fais du sport pour évacuer la haine, la tristesse, le malêtre, la graisse. Tu voudrais que tout ça ne soit plus en toi. Vite.
Maintenant la solitude est ton plus grand ami. Et puis un jour tu mange, plus ou peut-être pas, mais tu manges et puis tu es malheureuse.. PLUS ça c'est sur. Tu te trouves écœurante, tu te donnes la gerbe, le bonheur te donne la gerbe, l'amour te donne la gerbe, le rire te donne la gerbe, ta vie te donne la gerbe. Alors tu gerbes.

Une première fois; "c'était le seule moyen, ça ne se reproduira pas, je ne suis pas aussi faible" une deuxième fois; " mais quelle connerie, c'est la dernière" , puis une troisième; "j'arrive plus a m'en passer", alors une quatrième... etc. Maintenant tu connais le début de la tuyauterie des lavabos, toilettes, douches de toute ta maison par cœur, mais tout ces trous, ils ont un point commun; Au bout d'un moment on y voit plus la fin. Tout comme tout ça. Ça n'as plus de fin.

  Ça te prend et ça ne te quitte plus. C'est une habitude, un détail presque normal de ta journée, un automatisme. Tu ne peux plus t'en passer. Un peu comme un drogué avec son exta', un alcoolo et ça vodka.

Tu es acro.  ( Depuis déjà trop longtemps)

1 juin 2008

A une certaine colonie. Un certain 14 jullet, au soir. Dans une certaine tente.

J'avais 10 ans, j'en annoncé 11, j'en paraissais 14. photo_10026071_small

Je marchais sur un chemin de gravier bordé de voiture, qui mené à une fête, le bal des pompiers du 14 juillet. La caserne était juste à coté de notre campement.
J'étais bien entouré; à ma droite un garçon qui me plaisait, à ma gauche le garçon que j'aimais, il avait 14/15 ans, je savais que je ne lui plairait jamais, moi petite merdeuse de 10 ans. Pourtant il me dragué, ça ne m'était encore jamais arrivé. j'avais vécu ma primaire à être une amie, l'amie de tout le monde, la petite copine de personne. Tout à coup j'avais une importance plus que amical pour ces deux garçons, même si j'étais persuadé d'être qu'une gamine à leurs yeux.
On arriva alors devant le lieu des festivités, à ma gauche un grand sapin, à coté du quel était pausé un tronc d'arbre en guise de banc. Ici, il faisait encore un peu sombre, la lumière du bal éclairé parfaitement les lieux quelques mètre plus loin. Les deux garçon s'en allèrent vers la fête, je décida de rester assise sur le tronc d'arbre. J'étais intrigué, je voulais tant révéler au garçon que j'aimais mes sentiments à son égard. Mais j'étais sur de ne pas en être capable. Quelques minutes après je le vis aux abords de la fête, alors je l'appela:
" Qu'est ce qu'il y a ? "
" Je voulais te dire quelque chose, mais ça ne veut pas sortir, c'est difficile à dire.."
"Je comprend"

Alors il m'embrasse langoureusement et tendrement. Je crois. Il me dégoutais, tout ça me dégouté.
J'en attendais pas autant, pas aussi vite.
Alors il me proposa de retourner vers le camp, "au moins làbàs on pourra être tranquil ", m'a t'il dit.
Je le suivais, même si je ne  le voulais pas. Je ne voulais pas me retrouver seule avec lui, pour qu'il m'embrasse encore et encore. Je ne veux pas.

Il m'entraina alors vers sa tente, cette fameuse tente, je revois encore parfaitement le chemin qu'il fallait emprunter pour la rejoindre. On y entra. Je m'assis sur son duvet, tout en me répétant sans cesse "ne t'approche pas trop de moi".
Il sassai à son tour, contre moi. Il me pris dans ses bras.
Jamais je n'aurait voulu de tout ça, je voulais partir.
Alors il m'allongea contre lui, je ne pouvait pas refuser, après tout je l'aimais.


Après tout cela, bizarement, je ne me souviens plus de rien, ou de très peu.
Je revois ses mains caresser mes seins, mon ventre, plus bas encore.
Je ne sais plus comment j'étais, ce que je ressentais. Est-ce que j'étais là vraiment ? Physiquement, c'est certain.

Il avait 15 ans, pour lui tout ça était normal. J'avais 10 ans, je l'aimais.

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1 juin 2008

La déchetterie c'est par ici.

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Je devrais plutôt appeler ce blog un déversoir journalier de tout ce qui encrasse ma vie, ma tête, mes pensées, ou encore ce que je n'avais jamais dit, jamais raconté, juste mettre des mots sur des pensées. Y voir plus claire, surement, même si je crois peu aux vertus positive que peu apporter une "exprimation inter-bloguiale", mais pourquoi ne pas tenter le coup ? J'ai tellement de chose dans la tête, des souvenirs peut-être trop vieux et flous  qui laisse un ta de cicatrices. Mais bon comme dirait l'autre " Ce qu'il y a de magnifique dans une cicatrice, c'est qu'elle est la preuve formelle que l'on guéri "
bref. je ne vous souhaite pas bonne lecture puisque à la base je fais ça pour moi, ouai ouai je suis égoïste je sais... de ne pas vous faire partager mon magnifique style d'écriture, parsemé de faute d'orthographe ! Enjoy chéri(e).

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